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Affichage des articles du janvier, 2019

Un Recul Progessif

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Un recul Progressif Le progrès consiste à cracher sur la tombe des ancêtres U ne thèse réaliste bonnement dialectique, défendu par une pluralité de personnes dont la diversité des points de vues ne sont guère unanimes. Mais, faut-il vraiment rompre avec le passé pour progresser ?            Étant ferment attaché à l’idée de bien vouloir aller de l’avant, de nombreuses personnes, se détournent du passé et rendent les anciens valeurs primée en reniant pratiquement la tradition et les efforts éminents de ceux qui nous ont précédé. Aller de l’avant est certes un impératif majeur auquel ne serait se soustraire quiconque aspire à de plus grand pouvoir de décision pour progresser, mais faut-il pour autant tourner le dos au passé ? Ne doit-on pas au contraire, voir dans le passé un appui indispensable au progrès ?            Selon certains idéologues, le progrès consiste à faire table rase avec le passé. Autrement dit le progrès n’est possible que dans la mesure où l’

La Structure du Roman La Mort du silence

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La Mort du Silence est un roman de mœurs autobiographique écrit à la troisième personne du singulier, au passé simple et à l’imparfait de l’indicatif. Ce récit de Julfran Dongo a été publié chez Amazone en 2017 et chez CooLlibri.  Il est découpé en deux parties divisées en vingt-huit chapitres non titrés. C’est la première œuvre littéraire achevée par Julfran, dont le premier manuscrit a été auto publié chez Bookelis sur l’internet en 2016 sous le même titre après avoir reçu un refus de la maison d’édition Hemar pour des raisons politique. Une année plus tard, il recevra une demande de publication de la maison d’édition Jets D’Encre siège à Parie en France, et plus tard dans la même semaine une deuxième demande, celle des éditions Chapitre. Puis une troisième provenant de la maison d’édition Lemba (une maison d’édition Congolaise basée en côte d’Ivoire et en France) qui lui suggéra de changer ce titre par « La Fin du Silence » pour des raisons de sécurités. Mais c’est chez L’Harm